Paulette et Christian Labeur portaient bien leur nom. « Des acharnés de travail », soupire Carine Emery, dirigeante des pompes funèbres Maison Labeur et petite-fille des fondateurs. Enfant, déjà, entourée de sa famille d’entrepreneurs, elle se rêve cheffe d’entreprise. N’importe laquelle… Sauf la plus évidente : « L’entreprise était au centre de la famille. Ils en parlaient à table, le (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :
