« Les effets du ralentissement de l’activité, sensibles depuis second semestre 2012, sont désormais prégnants », indique la dernière note de conjoncture de l’Urssaf. Pour preuve, l’évolution de l’emploi, nulle au cours du premier trimestre 2013, comme lors des deux précédents. Mais également la très faible évolution de la masse salariale (0,1%). Plus inquiétant encore, pour la première fois (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :