En 1980, date à laquelle l’État, via le BRGM et sa filiale Coframines, a repris l’exploitation des mines de Salsigne, « le risque environnemental qui s’attachait à la poursuite de l’activité́ minière n’a pas été pris en considération par l’État », soulignaient les sages du palais Cambon.
« À cette date, le caractère fortement polluant de l’activité́ minière était pourtant connu des pouvoirs (…)
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