Dans l’univers des laboratoires où les regroupements vont bon train, pour la plupart gérés par des fonds de pension étrangers, Inovie fait figure d’exception. L’entité née à l’initiative notamment du groupe montpelliérain Labosud, appartient à ses 400 biologistes associés, au sein de dix-huit laboratoires qu’elle fédère sur cinq régions, dont l’Occitanie où elle conserve son siège (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :