Surprise : la société qui aura la charge de reconvertir le site de Francazal en plateforme d’aviation d’affaires n’est pas l’Aéroport Toulouse Blagnac. Contre toutes attentes (locales) le patron de la Direction générale de l’aviation civile lui a préféré le groupe canadien SNC Lavalin et ce, pour une durée transitoire d’un an, « reconductible au maximum une année supplémentaire », rappelle la (…)
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