Publié le jeudi 9 septembre 2010 à 20h05
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Aucun de ses représentants n’était dans la salle d’audience jeudi dernier, le 2 septembre 2010. Pourtant, c’est ce jour-là que les juges du tribunal administratif de Toulouse examinaient les requêtes indemnitaires d’anciens riverains du site AZF contre l’État. Depuis 2005, ces particuliers qui demandent réparation du préjudice moral subi, dénoncent les « fautes » commises par l’État dans le contrôle et la surveillance de l’usine.
L’affaire a évidemment fait moins de remous que le procès pénal de l’explosion de l’usine AZF, qui s’est soldé en novembre dernier par une relaxe générale des prévenus, Serge Biechlin, l’ancien directeur du site et de son propriétaire Grande Paroisse, « au bénéfice du doute ». Elle n’est pourtant pas sans importance.
Cette fois-ci, c’est devant une juridiction administrative qu’a été examiné (…)
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