Pendant, longtemps, il a traîné partout un carnet rempli de dessins d’enfants. « Cela peut paraître bizarre, mais c’est la forme d’art qui me touche le plus. Un enfant ne fait jamais le même dessin deux fois. Il y a quelque chose de fragile, mais j’aime que ce soit libre, instantané » confie Daoud. Le trompettiste trentenaire est resté fidèle « au gamin pas sage » qu’il était, qui a commencé (…)
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