Hervé Ferrage, vous avez passé six années à la tête du Centre régional des lettres de Midi-Pyrénées. Pourquoi ce départ ?
Parce que j’ai envie d’aller explorer le vaste monde ! Je me suis rendu compte dernièrement qu’un livre occupait depuis quelques temps ma table de chevet, Il faudra repartir de Nicolas Bouvier.
C’est le même besoin irrépressible qui vous a déjà conduit aux États-Unis et en Angleterre ? (...)
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