Au pied de la Torre Mapfre et de sa façade d’acier, des trentenaires en costume ajusté fument une dernière cigarette avant de grimper dans ce gratte-ciel construit pour les Jeux olympiques en 1992. Au dixième étage de ce bâtiment de bureaux de 150 mètres de haut surmonté d’un héliport, dans une salle décloisonnée aux larges baies vitrées, les salariés silencieux sont vissés à leur chaise, les yeux rivés (...)
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