C’est peut-être l’épilogue de l’un des grands feuilletons toulousains de ces dernières années. Ce samedi 26 septembre, le gouvernement a donné son feu vert au projet de ligne à grande vitesse (LGV) entre Toulouse et Bordeaux, qui doit à terme placer la Ville rose à un peu plus de trois heures de Paris en TGV.
Souhaitée de longue date et ardemment défendue par la majorité des élus locaux, contestée (...)
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