Dans quelques semaines, l’État doit statuer sur la réalisation de la LGV entre Bordeaux et Toulouse. Mais à l’approche de la décision finale, les positions se crispent. D’un côté les partisans de la LGV qui militent depuis des années pour que Toulouse soit (enfin) reliée à Paris en 3h10 ; et de l’autre, les défenseurs de l’avion. L’épisode du « chantage » d’Air France illustre cette (…)
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