Bus, métro, vélo, marche à pied et voiture. Ces transports urbains à Toulouse, testés aux heures de pointe, débouchent sur un constat surprenant qui « tord le cou aux idées reçues », selon Pierre-Yves Robic, responsable d’études à l’Oramip, l’Observatoire régional de l’air en Midi-Pyrénées. Le conducteur d’une voiture et ses passagers sont les plus exposés à la pollution de l’air.
Au printemps 2008, dans le (...)
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