« Les clients du Filochard se plaignaient de ne pas assez voir le patron derrière le comptoir. Dorénavant, j’y serai beaucoup plus souvent », sourit Adam Shaw. Mais le ton se fait plus sérieux et réfléchi lorsque le dirigeant évoque les raisons qui le poussent à céder progressivement ses affaires toulousaines. « Je suis plus prudent sur la communication car j’ai peut-être commis un excès de (…)
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