L’homme est chef d’entreprise et mécène. Sa table de salle à manger est couverte de dossiers. A son bout, un ordinateur. Au mur, une toile de 2 mètres sur 3, gaie, colorée, presque naïve, avec des animaux dans des cases : « Une évocation du zoo de Plaisance. » Stéphane Janson consulte tour à tour ses mails, son téléphone portable, le courrier. Même sur une chaise, il faut que ça bouge. (…)
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