Longtemps, les chefs ont fait la fine bouche devant les huîtres de l’étang de Thau. Trop maigres et salées, ils leur préfèrent leurs cousines de l’Atlantique. Jusqu’à ce que Florent Tarbouriech, héritier des tables d’élevage de son père à Marseillan, eut l’idée saugrenue voici dix ans de lever ses huîtres tous les jours en imitant le mouvement naturel des marées. L’intérêt ? Obliger les (…)
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