Quartier Bordelongue, la barre de 108 logements de la résidence Enzo Godéas n’est plus qu’un souvenir. Construits dans les standards des années 1960, ils étaient devenus obsolètes, tant sur le plan des performances énergétiques que pour la physionomie du quartier. Le vide laissé par la démolition laissera bientôt la place à un petit collectif de vingt-sept logements, positionné en L afin de (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :