En excluant les véhicules les plus polluants des centres-villes, les zones à faibles émissions (ZFE) [1] ne vont-elles pas fragiliser les plus précaires ? Cette crainte de plus en plus exprimée, l’Adie Occitanie la partage. L’association, qui accorde des microcrédits, est « inquiète pour ses bénéficiaires ». 75 % d’entre eux ont des véhicules de plus dix ans qui ont plus de 150.000 kilomètres au compteur. (...)
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