100 à 200 millions d’euros à trouver. Pour financer les dernières phases d’étude clinique de son HDL de synthèse, ou « bon cholestérol » permettant de lutter contre les maladies cardiovasculaires, Cerenis Therapeutics évalue son besoin de fonds supplémentaires à 100 voire 200 millions d’euros. A la clé, une innovation de rupture dans un domaine thérapeutique prioritaire en matière de santé publique, (...)
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