De son passé d’arboriculteur en chimie, Olivier Azan ne regrette rien. « Nous traitions des arbres avec des produits terribles », raconte ce vigneron de 60 ans, qui se souvient de ses maux de tête occasionnés par son métier. Alors, il décide de prendre un virage à 360 degrés. Nous sommes en 1980. Il achète dix hectares de vignes qu’il convertit en culture biologique en 1985. Sans subvention à (…)
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