Tout d’abord, un élément regrettable. Atmo Occitanie, l’observatoire occitan de la qualité de l’air, n’a pu réalisé pour la période 2020-2021 [1], « faute de financements dédiés », un état des lieux de la présence des pesticides dans l’air dans les zones urbaines de Toulouse et Montpellier. L’organisation présidée par Agnès Langevine, vice-présidente de la Région Occitanie chargée du Climat, du pacte vert et (...)
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