Il est difficile de faire un compte-rendu exhaustif des affaires successives que Jean-Pierre Gleize a dirigées. Elles ont changé de mains au fur et à mesure où d’autres naissaient. A l’image du poker qu’il affectionne au moins autant que les femmes, une fois la partie terminée, l’homme quitte la table pour aller voir ailleurs. « Je ne garde rien, je suis toujours sur la corde raide ! » s’esclaffe celui (...)
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