C’est une marketplace à la française. « La solution que nous avons imaginée est un mix entre Le Bon Coin et Amazon : d’un côté, on met en relation des pharmaciens qui vendent ce qu’ils n’utilisent pas, de l’autre on multiplie les vendeurs sur une même plateforme pour diminuer les coûts de logistique », résume Charles Romier. À 31 ans, le jeune pharmacien a laissé tomber la blouse blanche pour (…)
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