Environ une centaine de familles posséderait ainsi une partie non négligeable du patrimoine privé de Toulouse. C’est moins que dans une grande ville comparable, Bordeaux par exemple. « Certaines ont commencé à acheter des biens il y a deux ou trois générations, les rénovent et les gardent en location », confie un professionnel du secteur.
« Mais elles sont discrètes, notamment en raison du (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :