De l’occupation des locaux par les ex-employés pour protester contre la fermeture de leur usine, il ne reste quasiment rien. Quelques messages de soutien plastifiés et vissés sur le mur résistent à la pluie et au vent. Les photos des anciens salariés, pensées comme des épitaphes, ont été arrachées. La table et les containers qui servaient de remparts, déplacés.
Du passé industriel de cette fonderie, il (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :