De la route d’Espagne, on ne soupçonne rien. Comme un secret bien gardé, le bâtiment « B21 » de Sanofi-Aventis Toulouse, opérationnel seulement depuis juillet dernier, ne se dévoile qu’à l’arrière du site. Un bloc rectangulaire futuriste de verre, acier et béton, rutilant sous le soleil de septembre, qui abrite la chimiothèque du premier groupe pharmaceutique français et européen, (…)
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