Stéphane Marcel, pourquoi avoir accepté de présider l’Aris ?
J’ai accepté cette mission, car elle correspond au principe de l’action synergique public-privé auquel je crois. C’est dans la lignée de ce que je fais avec le fonds régional Créalia depuis un certain nombre d’année, tout en conservant mon activité dans une grande entreprise privée. Je connais donc déjà la dimension ingénierie (…)
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