« Dans les années 1980, on voyait les orages comme des phénomènes troposphériques, qui se produisaient à une distance de 0 à 15 km du sol. À partir des années 1990, on a compris qu’ils interagissaient avec toute l’atmosphère et qu’ils étaient associés à d’autres phénomènes distincts, extrêmement brefs, impossibles à voir à l’oeil nu. Comprendre l’impact de ces flashs lumineux sur la physique et la chimie de la (...)
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