Virigine Lobrot reçoit dans sa cuisine, à quelques mètres de son atelier. Le calme des lieux est à peine troublé par le passage d’un chat noir peu farouche. Elle conte son parcours avec sérénité et fluidité. Dans les années 90, après une formation en graphisme, elle travaille pendant cinq ans à Publicis, la prestigieuse agence de pub parisienne des Champs-Élysées, à Paris. Vite lassée « de ce monde trop (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :