Ils ne sont d’abord qu’une cinquantaine sur le place Saint-Étienne de Toulouse, devant la préfecture de Région. Il fait beau. Laeticia, comédienne, arrivée seule, semble chercher des visages connus dans la petite foule. La jeune femme, syndiquée à Force ouvrière, est venue notamment pour redemander la réouverture des lieux de culture : « C’est une fermeture politique. Les files d’attente, c’est un (...)
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