Erwan Kezzar, entrepreneur informatique, s’estime aussi technophile que techno-critique. Son discours s’extirpe de la binarité du débat. « Je sais tout ce qu’on peut faire avec les nouvelles technologies. On peut réaliser de grandes choses, mais elles peuvent donner lieu à des dérives dangereuses », pointe-t-il.
Après avoir appris aux publics éloignés du numérique à coder pour les armer (…)
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