Assis dans un confortable fauteuil en cuir, sur la mezzanine de son atelier du 4bis, Gérard Bogo surplombe la place de la Daurade. De ce poste avancé, entre les stores qui découpent la scène en tranches, il observe les passants ou plutôt les passantes. Leurs silhouettes élancées, leurs courbes en mouvement l’inspirent. Un détail d’elles, immortalisé au crayon sur un carnet, se retrouvera (…)
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