« L’idée, c’est de proposer un produit adapté au patient pour lui redonner de l’autonomie et de l’indépendance dans ses déplacements », explique Amaury Ciurana, président de Reev [1]. « J’avais un projet d’étude à Supaéro sur un exosquelette adapté aux enfants atteints de paralysie cérébrale. En approfondissant les recherches sur les handicaps moteurs, j’ai vu qu’il existait peu de solutions (…)
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