Elle n’est pas toulousaine. Mieux, elle fait partie de l’histoire de cette ville. Sa vie y a basculé le 11 mars 2012 lors de l’assassinat de son fils Imad, premier des trois militaires abattus par Mohammed Merah. « Ma seconde ville, c’est Toulouse car c’est là où mon fils a rendu son dernier souffle », confie-t-elle. Peu après les événements, elle tient sa première conférence dans un établissement près (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :