Tout commence comme un rêve d’enfant. Le jeune musiciens, regarde, très jeune et des nuits durant, à la télévision le compositeur et chef d’orchestre américain Leonard Bernstein diriger. Pouvoir exprimer ainsi corporellement la musique le fascine. Et quand il écoute les Concertos brandebourgeois de Jean-Sébastien Bach (1721), il sent son corps vibrer et déjà en lui « des élans de direction (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :