Après une édition 2014 fortement perturbée par l’action des intermittents du spectacle qui avait engendré pour le festival plus de 570.000 euros de pertes, Rio Loco veut oublier tous ses mauvais souvenirs pour ne retenir que le meilleur de son histoire. Le temps d’une nouvelle pause musicale, l’événement toulousain, né Garonne en 1995 et devenu Rio Loco en 2003, retraversera certains des (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :