« En temps de crise, la meilleure défense, c’est l’attaque », affirme François Dicostanzo, directeur général de Rives Dicostanzo. Encore faut-il en avoir les moyens. Dans un marché du déménagement en berne, accusant selon la chambre syndicale de la profession des chutes de 40% d’activité au cours des années 2008 et 2009, Rives Dicostanzo s’est maintenu à un niveau de 16 millions d’euros de (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :