Ils attendaient ce jugement depuis quatre ans et demi, quand la société américaine Molex les a laissé sur le carreau un soir d’octobre 2009. Hier, les prud’hommes de Toulouse ont estimé que le licenciement des 283 salariés de l’usine française du géant américain Molex, à Villemur-sur-Tarn était « sans cause réelle et sérieuse ». Près de 190 anciens employés de l’ex-usine de connectique (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :