Matthieu Caylet et Emmanuel Vinas, tous deux trentenaires, auto-qualifiés « geeks », ont déjà testé la palette des expériences professionnelles du numérique… avec frustration. « Les sociétés de services m’ont survendu des projets peu riches technologiquement, des éditeurs de logiciels cherchaient à placer leur technologie mature, très faible côté innovation, et l’exercice en free-lance manque (…)
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