Nexteam n’est pas une entreprise en mauvaise santé. Cet équipementier de 2200 personnes réparties dans six pays, né de plusieurs fusions et acquisitions voilà dix ans, fabrique des pièces élémentaires pour l’aéronautique, pour Safran (39 %) et Airbus (28 %) en particulier, dont le carnet de commandes est rempli pour les dix prochaines années. Jusqu’ici tout va bien. Car le chiffre (…)
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