Depuis cette semaine, EZ10 se balade toute seule entre le parking et l’entrée de l’Oncopole, 700 mètres plus loin. Automobilistes et piétons observent avec curiosité le ballet de cette navette sans chauffeur, qui circule enfin sans superviseur à bord. « Une caméra placée à l’intérieur permet à un de nos opérateurs d’assurer une surveillance. En cas de problème, il peut être contacté à l’aide d’un bouton », (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :