En novembre 2009, le tribunal correctionnel de Toulouse les avait relaxés au bénéfice du doute, considérant que le lien de causalité entre « la faute organisationnelle » au sein de l’usine AZF et « les dommages » de l’explosion était « incertain ». Mais ce lundi 24 septembre, la cour d’appel de Toulouse en a décidé autrement. Pour elle, la piste de « l’intervention volontaire interne ou (…)
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