« Nous sommes encore en plein orage. Mais comme le pilote de course, j’accélère dans le virage pour sortir de la courbe », estime Gilles Verhelst. Le patron de Femso Industrie déploie depuis des mois une énergie folle pour conserver les emplois. « Je me bats pour mes gars, pour résister », insiste-t-il. Son entreprise, spécialisée dans l’usinage de pièces mécaniques, à Aucamville, était très dépendante (...)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :