Maxime Léonard, comment est né le collectif Pensons l’aéronautique pour demain (PAD) ?
Durant le premier confinement, il y a eu des échanges de tribunes. Celle de la bande des quatre (Attac, Copernic, Amis du monde diplomatique et Université populaire de Toulouse) s’intitulait « Toulouse, le syndrome Détroit ». D’autres organisations ont suivi telles que le Manifeste pour l’industrie ou encore l’Atelier (...)
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