« La survie d’Airbus est en jeu. » Ce n’est pas un quelconque expert qui le dit, mais Guillaume Faury, le patron du groupe, dans un mail adressé courant avril aux 134.000 salariés. « Nous vivons l’un des plus grands chocs économiques de l’histoire », renchérit-il. Il est vrai qu’Airbus est l’une des entreprises les plus exposées au cataclysme économique provoqué par le coronavirus. Ses clients, les (...)
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