Les mauvaises habitudes ont la vie dure. « Ma mère pense que je travaille encore à l’Utopia », avoue timidement Jérémy Breta. Pourtant, en 2016, ce cinéma d’art et d’essai, situé rue Montardy, en plein cœur de Toulouse, tournait une page : une nouvelle direction prenait les commandes et un nouveau nom, American Cosmograph, s’inscrivait en haut des affiches des films. Les spectateurs ont (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :