« Tsunami social », « vague scélérate », le président du Conseil départemental de Haute-Garonne Georges Méric use, au début de son discours, de métaphores peu réjouissantes pour décrire les conséquences de la crise sanitaire actuelle. Pour y faire face au mieux, le Département ne veut pas rester inactif. Celui-ci a mis en œuvre « un plan d’urgences sociales » de 70 millions d’euros. 46.600 (…)
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