À Toulouse, les prix ne flanchent pas, ni dans le neuf, ni dans l’ancien. Les ventes, en revanche, ont bien du mal à repartir à la hausse. Résultat, la machine est assez grippée en cette rentrée. « Avant l’été, les perspectives n’étaient pourtant pas si mauvaises », selon Sébastien Bénet le président de la Fnaim 31. « Nous avions constaté 20 % de ventes supplémentaires entre le printemps 2024 (…)
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