La plaignante, Véronique Dujardin, vient de Poitiers ; vous-même exercez en qualité d’avocat à Toulouse. Comment est-elle arrivée jusqu’à vous ?
Dans ce genre d’affaire, beaucoup de victimes se tournent vers des associations. Pas elle. Elle tenait à prendre son propre conseil, quelqu’un avec qui elle pourrait échanger directement et aller au combat de front. Je pense qu’elle a présélectionné (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :