« J’ai abandonné le nom Cahors, imprononçable à l’étranger, pour Malbec », lance d’emblée Alain-Dominique Perrin en toute franchise avant de concéder que l’appellation Cahors, obtenue en 1971, est inscrite au dos de la bouteille « discrètement ».
Désormais, l’homme d’affaires, qui rachète en 1980 le Château Lagrézette, à Caillac dans le Lot, réalise 35% de son chiffre d’affaires à l’export, (…)
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