Il n’est pas encore visible, il n’est pas encore livré et pourtant l’A321 XLR d’Airbus fait déjà rêver. D’ailleurs, depuis le 30 juillet, la visite d’une heure trente, sans photo, de l’usine d’assemblage de cet avion aux 550 commandes revendiquées par son constructeur est possible. Et c’est Manatour, l’opérateur industriel toulousain fondé il y 35 ans, qui est aux manettes. "Il est encore trop (…)
La lecture de cet article est réservée aux abonnés :